Des fois je me dis que les agents de la RentrAvecTéPié sont des gens qui luttent contre toute forme de logique. Si si chers lecteurs. Enfin non. Vous voyez, j’écris parce que j’ai envie, je m’emporte et voilà que je crache sur des pauv’ gens de la fonction publique qu’on rien demandé à personne (à part de la considération de la part de notre gouvernement, mais comme pour tout le monde c’est pas gagné) Non en fait, pour le coup, faut généraliser, alors je reprends. Ce matin, Madame Illogisme avait décidé de me faire chier, moi en personne et ça à super bien marché.
Ce matin, j’allais à la fac. Pour ce faire, je prends le train avec Maman qui était en retard. Résultat, raté le train qui allait bien, vive celui qui saute une fois sur deux. Nous attendons sur le quai et là, Maman commence à râler, me donnant l’impression d’être la cause de tous les maux qui l’accablent. Comme une gamine de 10 ans, Maman ne voulait pas aller au travail, « elle n’avait pas fini de faire dodo » ! Moi non plus, c’est pas pour ça que je me plains. Et comme ma mère est d’une mauvaise foi sans nom (le premier qui me dit que les chiens ne fons pas des chats, je l’étripe virtuellement !) quand je lui ai demandé si elle avait fini de vider son sac sur moi qui n’y suis pour rien si elle est assistée d’incompétents qui font des erreurs de caisses en milliers d’zeuros, elle m’a rétorqué : « mais non je râle pas ! »
Nous montons dans le train, à l’heure pour une fois (ouf !) et deux stations plus loin, je descends pour me rendre à la fac. Misère. Déjà il pleut. Et en plus, comme j’ai pris le train suivant, je dois courir pour attraper le bus qui va bien parce qu’en général après lui, rien ne va plus dans les rangs de la RentrAvecTéPié. Ravie, j’ai été ravie de voir que je n’avais pas loupé ce bus. Les gens qui n’ont pas couru non plus ne l’ont pas raté. Il n’est jamais passé. Non, aujourd’hui, ce matin, le bus qui relie la gare à la fac et qui est le SEUL à y aller, qui passe EN THEORIE toutes les cinq-dix minutes, ce bus-là m’sieur-dames, il n’est JAMAIS passé. Alors que c’est même pas la grève. Bon, je panique pas, ce foutu bus a 30 minutes pour arriver et m’amener à la fac (environ 15 minutes de trajet). Mais bon, de loin je vois se profiler le retard, l’arrivée perturbatrice dans le cours, la galère pour rattraper ce que j’aurai loupé. Je me cale donc sous l’abribus (petit rappel : il pleut et y’a déjà 15 personnes sous ledit abribus) et j’attends. J’attends. J’ATTENDS !!!
Au bout de dix minutes, un bus se profile au bout de la rue. Je trépigne. Chouette chouette chouette, je serai à l’heure. Le bus dépose ses passagers puis… HEIN ? Le chauffeur remet sa veste affreuse d’uniforme et va dans la guérite pour boire un kawa et fumer sa clope. Ok, pause syndicale, il a la droit, c’est pas aujourd’hui qu’on va lui en vouloir. Mais cinq minutes, pas plus…
OH ! ON AVAIT DIT CINQ MINUTES !!! Ca fait déjà plus de dix minutes que môssieur déguste son café et écrase sa troisième clope. Moi je garde un sang froid farpaitement parfait (comme d’habitude) mais ce n’est pas le cas de ceux qui attendent avec moi. D’un coup, un autre bus se profile à l’horizon. Et c’est lui qui, faisant fi de sa pause syndicale, nous prend à son bord. Les gens le remercient d’être arrivé, de bien vouloir partir tudsuite mainnant parce que vraiment là, il est 8h55 et l’affiche de retardataire en cours, elle est pour ma pomme aujourd’hui. Il roule donc et vingt minutes plus tard, je suis enfin dans la fac, à l’entrée de la salle de classe. 9h15, tout va bien, c’est moins pire que ce que je craignais. Bon, j’ai pris un petit coup d’énervement quand en descendant du bus, je me suis aperçue que les deux bus suivants nous collaient au train de près. On était douze mille serrés dans le premier… Joyce.
Moins pire que je craignais, en fait non. Quand j’ai poussé la porte de la classe, un vent d’illogisme m’a de nouveau balayé le visage avec tout ce que ça peut contenir de désagréable. J’avise la classe : sept rangs d’amphithéâtre les uns derrière les autres et pleins de places libres… En plein milieu ! Oui parce que les étudiants sont tellement feignants qu’ils se mettent tous au bord des rangs pour pas galérer à en sortir. Comme ça, quand t’arrive en retard, tu peux pas arriver discrètement dans la mesure où il faut que tu fasses lever leurs culs à au moins trois personnes pour t’assoir. Ca coûtait quoi de faire trois mètres de plus pour laisser de la place aux nouveaux arrivants bordel ?!? Et en plus, c’est super con parce que c’est au milieu que tu te lèves le moins pour laisser passer les autres ! Youpi. Moi qui aime bien être devant pour bien voir ce que la prof projette ou écrit avec ses stylos verts tout pourris, je suis tout au fond, là où j’emmerdais le moins de monde. Comme quoi, quand on est en groupe, on devient très vite plus con.
Ce matin, j’allais à la fac. Pour ce faire, je prends le train avec Maman qui était en retard. Résultat, raté le train qui allait bien, vive celui qui saute une fois sur deux. Nous attendons sur le quai et là, Maman commence à râler, me donnant l’impression d’être la cause de tous les maux qui l’accablent. Comme une gamine de 10 ans, Maman ne voulait pas aller au travail, « elle n’avait pas fini de faire dodo » ! Moi non plus, c’est pas pour ça que je me plains. Et comme ma mère est d’une mauvaise foi sans nom (le premier qui me dit que les chiens ne fons pas des chats, je l’étripe virtuellement !) quand je lui ai demandé si elle avait fini de vider son sac sur moi qui n’y suis pour rien si elle est assistée d’incompétents qui font des erreurs de caisses en milliers d’zeuros, elle m’a rétorqué : « mais non je râle pas ! »
Nous montons dans le train, à l’heure pour une fois (ouf !) et deux stations plus loin, je descends pour me rendre à la fac. Misère. Déjà il pleut. Et en plus, comme j’ai pris le train suivant, je dois courir pour attraper le bus qui va bien parce qu’en général après lui, rien ne va plus dans les rangs de la RentrAvecTéPié. Ravie, j’ai été ravie de voir que je n’avais pas loupé ce bus. Les gens qui n’ont pas couru non plus ne l’ont pas raté. Il n’est jamais passé. Non, aujourd’hui, ce matin, le bus qui relie la gare à la fac et qui est le SEUL à y aller, qui passe EN THEORIE toutes les cinq-dix minutes, ce bus-là m’sieur-dames, il n’est JAMAIS passé. Alors que c’est même pas la grève. Bon, je panique pas, ce foutu bus a 30 minutes pour arriver et m’amener à la fac (environ 15 minutes de trajet). Mais bon, de loin je vois se profiler le retard, l’arrivée perturbatrice dans le cours, la galère pour rattraper ce que j’aurai loupé. Je me cale donc sous l’abribus (petit rappel : il pleut et y’a déjà 15 personnes sous ledit abribus) et j’attends. J’attends. J’ATTENDS !!!
Au bout de dix minutes, un bus se profile au bout de la rue. Je trépigne. Chouette chouette chouette, je serai à l’heure. Le bus dépose ses passagers puis… HEIN ? Le chauffeur remet sa veste affreuse d’uniforme et va dans la guérite pour boire un kawa et fumer sa clope. Ok, pause syndicale, il a la droit, c’est pas aujourd’hui qu’on va lui en vouloir. Mais cinq minutes, pas plus…
OH ! ON AVAIT DIT CINQ MINUTES !!! Ca fait déjà plus de dix minutes que môssieur déguste son café et écrase sa troisième clope. Moi je garde un sang froid farpaitement parfait (comme d’habitude) mais ce n’est pas le cas de ceux qui attendent avec moi. D’un coup, un autre bus se profile à l’horizon. Et c’est lui qui, faisant fi de sa pause syndicale, nous prend à son bord. Les gens le remercient d’être arrivé, de bien vouloir partir tudsuite mainnant parce que vraiment là, il est 8h55 et l’affiche de retardataire en cours, elle est pour ma pomme aujourd’hui. Il roule donc et vingt minutes plus tard, je suis enfin dans la fac, à l’entrée de la salle de classe. 9h15, tout va bien, c’est moins pire que ce que je craignais. Bon, j’ai pris un petit coup d’énervement quand en descendant du bus, je me suis aperçue que les deux bus suivants nous collaient au train de près. On était douze mille serrés dans le premier… Joyce.
Moins pire que je craignais, en fait non. Quand j’ai poussé la porte de la classe, un vent d’illogisme m’a de nouveau balayé le visage avec tout ce que ça peut contenir de désagréable. J’avise la classe : sept rangs d’amphithéâtre les uns derrière les autres et pleins de places libres… En plein milieu ! Oui parce que les étudiants sont tellement feignants qu’ils se mettent tous au bord des rangs pour pas galérer à en sortir. Comme ça, quand t’arrive en retard, tu peux pas arriver discrètement dans la mesure où il faut que tu fasses lever leurs culs à au moins trois personnes pour t’assoir. Ca coûtait quoi de faire trois mètres de plus pour laisser de la place aux nouveaux arrivants bordel ?!? Et en plus, c’est super con parce que c’est au milieu que tu te lèves le moins pour laisser passer les autres ! Youpi. Moi qui aime bien être devant pour bien voir ce que la prof projette ou écrit avec ses stylos verts tout pourris, je suis tout au fond, là où j’emmerdais le moins de monde. Comme quoi, quand on est en groupe, on devient très vite plus con.
Mais bon positivons pour que le reste de la journée se passe bien : madame Illogisme, un jour, j'aurai ta peau !
1 commentaire:
Eh beh quelles péripéties!
Avec mes amis de la cour du renard (asso med) on avait trouvé RATP: Renard avec tous ses potes ^^
(et renard alcoolique toujours prêt mais ça... c'est pas vrai pour tous les renards, genre moi qui boit pas ^^)
j'ai bien le RentrAvectéPié ^^
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