Mon chat est roi ! Mais rassurez vous, chers lecteurs, le règne de Pipou Ier est en passe de subir une révolution ! C’est désormais très officiel : la guerre est déclarée entre Sa Majesté et le reste de la maisonnée. Et j’annonce d’emblée que Pipou (le chat, si vous avez suivi les posts précédents) ne va pas gagner toutes les batailles.
Petit rappel : cet été, Pipou avait découvert les plaisirs de la gambade nocturne. Elle demandait à sortir au moment du coucher et refusait de rentrer, mettant à mal nos ruses de sioux à base de sachets de croquettes secoués et de friandises affriolantes à la fenêtre. Que nenni, la demoiselle a même réussi à se faire la malle huit jours, se faire enfermer dans la boulangerie en travaux et à coincer Maman et JJ sur le toit. Bien sûr, nous l’avons récupérée par la peau du dos, même chez le voisin de l’autre coté de la rue. Et comme elle sentait l’essence, la merde et autres immondices, elle a eu droit à un aller simple pour la baignoire. L’eau était à peu près aussi noire qu’elle. Elle s’est ensuite repayée une escapade de huit jours, nous l’avons une fois de plus récupérée par la peau du cou et depuis, la demoiselle a peur de mettre un nez dehors.
Seulement voilà, l’accalmie n’a pas duré. Depuis deux semaines environ, Pipou s’amuse à demander à sortir dès que quelqu’un passe devant la porte d’entrée. Bon, comme c’est un chat intelligent, il ne sort QUE par les portes, elle a abandonné l’idée de passer par les velux, idée stupide du reste puisqu’ils ne mènent à rien.
Bref, Pipou a entamé une technique terrible qui consiste en un siège serré avec sommation permanente d’être satisfaite. En gros, elle nous suit partout (sauf Papa, parce qu’elle à toujours horriblement peur de lui) et réclame à jouer pour attirer notre attention jusqu’à la porte. Et, oh, comme de par hasard, demande à sortir. Ca ne serait pas grave, si je n’avais pas le capes dans 3 SEMAINES et que mademoiselle ne se vautrait pas dans mes fiches étalées par terre, s’amusant d’une agrafe et trouant mes papiers a tout va pour requérir toute ma concentration.
Le truc avec ce chat, c’est qu’il est exigent. Et s’il y a une chose qu’il ne supporte pas, ce sont les portes fermées. Pas moyen de pisser tranquille, la minette vient tout de suite gratter a la porte, juste pour qu’on ouvre. Bien sûr, une fois satisfaite, elle se barre. Pas question d’entrer dans la pièce. C’est toujours pareil avec la porte de la cave, dont elle refuse d’utiliser la chatière, donc on a froid en ce moment, mais pas elle, vu qu’elle se pieute au second étage et n’en bouge que pour la pitance et la commission. Et bien sûr, sa petite maniaquerie marche aussi pour la porte d’entrée de la maison. Donc, si je résume, Pipou veut sortir tout le temps mais pas qu’on ferme la porte quand elle est dehors alors qu’il meule sévère !
L’autre matin, elle a gagné une bataille contre Maman. 8h10, Maman descend, il ne lui reste plus que ses chaussures à enfiler pour attraper son train. Pipou lui chante sa sérénade pour l’amadouer et comme de bien entendu, Maman craque. Elle entrouvre la porte, le temps d’aller mettre ses chaussures pour que le chat prenne l’air. Seulement voilà, quand Maman revient, le chat est introuvable. Pas de Pipou à l’horizon. Pas de minette sous la voiture. Pas de demoiselle dans le garage non plus. Panique à bord ! Il est passé où ce chat ? Maman tourne et retourne dans la cour, imagine que le chat s’est une fois de plus tiré pour la semaine. Elle cherche par acquis de conscience dans la maison. Pas de chat auprès de sa caisse ni de sa gamelle. Pas de Pipou non plus sur le radiateur de la salle de bain à mater dehors par la fenêtre (oui mon chat a aussi le mode « concierge », elle écarte les rideaux avec ses pattes et joue les curieuses) Elle tente de monter un étage de plus, dans mon antre personnelle, je dors comme un ange. Et dans celle de ma sœur, bien vautrée en plein milieu du lit, montrant le ventre pour se faire câliner… Pipou !!!
Ok, Pipou 1 – Nous 0.
Et la guerre ne se cantonne pas à la question « le chat doit-il sortir ou pas ? » Non non non. Pipou a bien d’autres maniaquerie agaçantes en réserve pour faire craquer nos nerfs et attirer nos regards (et nos mains, pas folle la chatte !) vers elle. Pour ma part, elle a entamé un processus de démontage d’étagères. J’explique. De temps en temps, Pipou, en manque d’inspiration concernant ses 16 heures de sommeil quotidiennes, se lève, s’étire, et entre dans ma chambre, sans faire de bruits. Elle va vers l’étagère qui supporte mes livres, mes bd et pas mal d’autres petites babioles et, tranquillement, sort une griffe pour y retirer un tout petit cache-vis. Toujours le même ! Une fois l’odieux cache-vis viré, elle sort sa super griffe cruciforme dans l’intention de retirer aussi la vis qui elle, heureusement, ne bouge jamais d’un poil. Bien obligée de s’avouer vaincue, elle reporte donc son attention sur ledit cache-vis et lui fait sa fête. Quand le cache-vis est enfin mort au combat, ou porté disparu, elle en attaque un autre. Il manque à l’heure actuelle deux cache-vis dans mes effectifs. Il y a encore peu de temps, elle les condamnait seulement a perpétuité sous le tapis de ma sœur, mais sa cachette ayant été découverte, elle en a changé et pas moyen de mettre le grappin dessus ! L’autre jour, Papa a retrouvé un cache-vis du bureau de ma sœur dans la cave, quelques trois étages plus bas. Une piste ? Allez savoir ! Toujours est-il qu’une fois le méfait accomplit, parfois juste une fois le cache-vis tombé au champ d’honneur sous ses griffes assassines, Pipou retourne se coucher, satisfaite, heureuse, comblée.
Ok, Pipou 2 – Nous… Toujours 0
Mais ça va pas de passer comme ça !
Rectificatif : À l’appel de ce soir, un des cache-vis de mon bureau manquait.
Pipou 3 – Nous… 0 putain !
C'est pas gagné !!!
Petit rappel : cet été, Pipou avait découvert les plaisirs de la gambade nocturne. Elle demandait à sortir au moment du coucher et refusait de rentrer, mettant à mal nos ruses de sioux à base de sachets de croquettes secoués et de friandises affriolantes à la fenêtre. Que nenni, la demoiselle a même réussi à se faire la malle huit jours, se faire enfermer dans la boulangerie en travaux et à coincer Maman et JJ sur le toit. Bien sûr, nous l’avons récupérée par la peau du dos, même chez le voisin de l’autre coté de la rue. Et comme elle sentait l’essence, la merde et autres immondices, elle a eu droit à un aller simple pour la baignoire. L’eau était à peu près aussi noire qu’elle. Elle s’est ensuite repayée une escapade de huit jours, nous l’avons une fois de plus récupérée par la peau du cou et depuis, la demoiselle a peur de mettre un nez dehors.
Seulement voilà, l’accalmie n’a pas duré. Depuis deux semaines environ, Pipou s’amuse à demander à sortir dès que quelqu’un passe devant la porte d’entrée. Bon, comme c’est un chat intelligent, il ne sort QUE par les portes, elle a abandonné l’idée de passer par les velux, idée stupide du reste puisqu’ils ne mènent à rien.
Bref, Pipou a entamé une technique terrible qui consiste en un siège serré avec sommation permanente d’être satisfaite. En gros, elle nous suit partout (sauf Papa, parce qu’elle à toujours horriblement peur de lui) et réclame à jouer pour attirer notre attention jusqu’à la porte. Et, oh, comme de par hasard, demande à sortir. Ca ne serait pas grave, si je n’avais pas le capes dans 3 SEMAINES et que mademoiselle ne se vautrait pas dans mes fiches étalées par terre, s’amusant d’une agrafe et trouant mes papiers a tout va pour requérir toute ma concentration.
Le truc avec ce chat, c’est qu’il est exigent. Et s’il y a une chose qu’il ne supporte pas, ce sont les portes fermées. Pas moyen de pisser tranquille, la minette vient tout de suite gratter a la porte, juste pour qu’on ouvre. Bien sûr, une fois satisfaite, elle se barre. Pas question d’entrer dans la pièce. C’est toujours pareil avec la porte de la cave, dont elle refuse d’utiliser la chatière, donc on a froid en ce moment, mais pas elle, vu qu’elle se pieute au second étage et n’en bouge que pour la pitance et la commission. Et bien sûr, sa petite maniaquerie marche aussi pour la porte d’entrée de la maison. Donc, si je résume, Pipou veut sortir tout le temps mais pas qu’on ferme la porte quand elle est dehors alors qu’il meule sévère !
L’autre matin, elle a gagné une bataille contre Maman. 8h10, Maman descend, il ne lui reste plus que ses chaussures à enfiler pour attraper son train. Pipou lui chante sa sérénade pour l’amadouer et comme de bien entendu, Maman craque. Elle entrouvre la porte, le temps d’aller mettre ses chaussures pour que le chat prenne l’air. Seulement voilà, quand Maman revient, le chat est introuvable. Pas de Pipou à l’horizon. Pas de minette sous la voiture. Pas de demoiselle dans le garage non plus. Panique à bord ! Il est passé où ce chat ? Maman tourne et retourne dans la cour, imagine que le chat s’est une fois de plus tiré pour la semaine. Elle cherche par acquis de conscience dans la maison. Pas de chat auprès de sa caisse ni de sa gamelle. Pas de Pipou non plus sur le radiateur de la salle de bain à mater dehors par la fenêtre (oui mon chat a aussi le mode « concierge », elle écarte les rideaux avec ses pattes et joue les curieuses) Elle tente de monter un étage de plus, dans mon antre personnelle, je dors comme un ange. Et dans celle de ma sœur, bien vautrée en plein milieu du lit, montrant le ventre pour se faire câliner… Pipou !!!
Ok, Pipou 1 – Nous 0.
Et la guerre ne se cantonne pas à la question « le chat doit-il sortir ou pas ? » Non non non. Pipou a bien d’autres maniaquerie agaçantes en réserve pour faire craquer nos nerfs et attirer nos regards (et nos mains, pas folle la chatte !) vers elle. Pour ma part, elle a entamé un processus de démontage d’étagères. J’explique. De temps en temps, Pipou, en manque d’inspiration concernant ses 16 heures de sommeil quotidiennes, se lève, s’étire, et entre dans ma chambre, sans faire de bruits. Elle va vers l’étagère qui supporte mes livres, mes bd et pas mal d’autres petites babioles et, tranquillement, sort une griffe pour y retirer un tout petit cache-vis. Toujours le même ! Une fois l’odieux cache-vis viré, elle sort sa super griffe cruciforme dans l’intention de retirer aussi la vis qui elle, heureusement, ne bouge jamais d’un poil. Bien obligée de s’avouer vaincue, elle reporte donc son attention sur ledit cache-vis et lui fait sa fête. Quand le cache-vis est enfin mort au combat, ou porté disparu, elle en attaque un autre. Il manque à l’heure actuelle deux cache-vis dans mes effectifs. Il y a encore peu de temps, elle les condamnait seulement a perpétuité sous le tapis de ma sœur, mais sa cachette ayant été découverte, elle en a changé et pas moyen de mettre le grappin dessus ! L’autre jour, Papa a retrouvé un cache-vis du bureau de ma sœur dans la cave, quelques trois étages plus bas. Une piste ? Allez savoir ! Toujours est-il qu’une fois le méfait accomplit, parfois juste une fois le cache-vis tombé au champ d’honneur sous ses griffes assassines, Pipou retourne se coucher, satisfaite, heureuse, comblée.
Ok, Pipou 2 – Nous… Toujours 0
Mais ça va pas de passer comme ça !
Rectificatif : À l’appel de ce soir, un des cache-vis de mon bureau manquait.
Pipou 3 – Nous… 0 putain !
C'est pas gagné !!!
2 commentaires:
Mdr!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Alala merci pour la crise de fou rire ^^ même si j'imagine bien que c'est pas drôle hihi!
Mon chat heureusement il est pas comme ça il dort 23h/24h et il a juste peur de l'aspirateur ^^
moi je dis cette photo est truquée!!
Bah oui Pipou elle est pas orange!
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