Ca y est !!! Aujourd’hui, après plusieurs tentatives qui ont toutes lamentablement échouées, j’ai enfin pu faire LES SOLDES !!! Oui, je sais, j’adopte un comportement de consommatrice capitaliste mais désolée, ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas été aux Halles que j’ai même découverts de nouveaux magasins. C’est dire si j’en avais besoin. Je ne suis pas une nana qui dépense outre mesure, mais je dois avouer que de temps en temps, je vais me promener dans les boutiques et que la fièvre acheteuse m’emporte. Pas au point de me rendre interdit bancaire ni même de mettre mon compte dans le rouge, je vous rassure.
Aujourd’hui donc, direction les Halles pour midi. But : manger avec la fée Clochette et profiter de ces foutues soldes qui m’ont narguée pendant deux semaines (ou trois, je ne sais plus) sans que mon emploi du temps ne me laisse l’occasion d’entrer dans les boutiques et de vraiment fouiner jusqu’à trouver les merveilles qui vont m’habiller. Je prends donc le train, je lis mon nouveau roman de poche (le dernier Lauren Weisberger, excellent, juste pour info) et j’arrive gare du Nord. Et là, j’ai un furieux doute sur la possibilité de sortir ma carte bleue aujourd’hui. En effet, tous les magasins de la gare sont fermés. J’ai beau avoir vu le défilé du 14 juillet ce matin à la télé, j’ai complètement zappé qu’on était un jour férié. Qu’à cela ne tienne, je continue quand même, en priant pour que des dérogations aient été accordées. Et oui ! Tous les magasins, à l’exception de la FNAC sont ouverts. Je voulais m’acheter le cd de Cabaret, ça peut attendre encore un peu. Bref, ma Clochette arrive, nous mangeons un morceau et nous nous lançons dans la chaleur des magasins le samedi après-midi aux Halles. Dur, je sais.
Nous dérivons, de rayons en rayons chez nos enseignes préférées, en cherchant la perle rare. Le truc qui va nous mettre en valeur à mort avec un prix défiant toute concurrence. J’avais déjà anticipé en attendant Clo, et succombé à un bas de maillot de bain tout simple, noir classique à -30%. On commence petit. Nous essayons quelques vêtements, notamment une robe hyper classe sur le cintre mais carrément grossissante sur nos épaules. Ces fameuses robes cintrées sous la poitrine, vous savez bien ; de toute façon, on ne trouve plus que ce modèle-là dans les magasins. Et bien croyez-le ou non, la forme de ces fichues robes n’allait ni à l’une ni à l’autre. Pourtant, nous n’avons pas la même morphologie car si l’une est mince avec peu de poitrine, l’autre est un peu plus en chair avec un décolleté suffisant. Et nous avions toutes les deux l’air de femmes enceintes ! Mais quel genre de femme peut se permettre une telle robe alors ?!
Nous continuons. Je cède à l’appel d’un pantalon que j’avais repéré avant les soldes et que je n’avais plus jamais revu en rayon jusqu’à ce jour. -30% aussi. J’ai gagné 12 euros, je suis ravie. Puis vient le rayon maillots de bain. J’en ai déjà, je sais. J’en ai plein, trop même, je le sais aussi, merci ! Mais quel délice comme prémices aux vacances de choisir son maillot de l’été, celui qui nous rendra irrésistibles sur la plage ou au bord de la piscine. Celui qui imposera ses marques blanches sur notre corps halé naturellement par des heures d’efforts à faire la tartine au soleil. Clo craque sur un modèle rouge brillant. Nous cherchons ardemment le soutien-gorge assorti mais c’est peine perdue. C’est la fin des soldes, la troisième démarque : il ne reste que du 34. Comme presque partout ailleurs d’ailleurs. Mon pantalon taille 40 était un vrai miracle perdu au milieu d’autres fripes. Tant pis pour le beau maillot rouge et la frime à la Pamela Anderson sur la plage d’Hossegor. Tant pis pour l’allumage de Romain au soleil du divin Pays Basque et de ses gâteaux succulents. J’avise moi aussi un petit bikini bleu nuit rayé d’ondulations roses, oranges et bleues ciel. Il est en solde et il reste plein de tailles. Clo et moi cherchons et trouvons bas et haut correspondant à ma silhouette. J’aimerai l’essayer, juste pour savoir si mon popotin rentre dans cette culotte qui me semble énorme. Il y a un monde fou qui fait la queue devant les cabines. A la guerre comme à la guerre, j’essaye la culotte par-dessus mon pantacourt. Elle semble aller. Finalement, j’ai peut-être un plus gros derrière que je ne le pensais. Idem pour le soutien-gorge. Vendu ! Il est en solde, -50% le haut et -70% le bas, je ne fais même pas le calcul tellement il me plait. Je me vois déjà prise en photo au bord de la piscine de l’hôtel dans les îles Canaries où je pars mercredi matin pour huit jours. La vendeuse annonce : 5,94€ ! Les deux sont passés à -70% !!! Ca c’est une affaire.
Voilà ce que j’aime dans les soldes. Pour une somme dérisoire, je suis habillée pour mes vacances. J’aime la perspective de pouvoir acheter mon maillot de bain avec ma petite monnaie tellement il ne coûte pas cher. Je l’essaye dès mon arrivée à la maison quelques heures plus tard. Je suis encore dedans. J’ai chaud. Ca sent les vacances à mort. J’adore !
Aujourd’hui donc, direction les Halles pour midi. But : manger avec la fée Clochette et profiter de ces foutues soldes qui m’ont narguée pendant deux semaines (ou trois, je ne sais plus) sans que mon emploi du temps ne me laisse l’occasion d’entrer dans les boutiques et de vraiment fouiner jusqu’à trouver les merveilles qui vont m’habiller. Je prends donc le train, je lis mon nouveau roman de poche (le dernier Lauren Weisberger, excellent, juste pour info) et j’arrive gare du Nord. Et là, j’ai un furieux doute sur la possibilité de sortir ma carte bleue aujourd’hui. En effet, tous les magasins de la gare sont fermés. J’ai beau avoir vu le défilé du 14 juillet ce matin à la télé, j’ai complètement zappé qu’on était un jour férié. Qu’à cela ne tienne, je continue quand même, en priant pour que des dérogations aient été accordées. Et oui ! Tous les magasins, à l’exception de la FNAC sont ouverts. Je voulais m’acheter le cd de Cabaret, ça peut attendre encore un peu. Bref, ma Clochette arrive, nous mangeons un morceau et nous nous lançons dans la chaleur des magasins le samedi après-midi aux Halles. Dur, je sais.
Nous dérivons, de rayons en rayons chez nos enseignes préférées, en cherchant la perle rare. Le truc qui va nous mettre en valeur à mort avec un prix défiant toute concurrence. J’avais déjà anticipé en attendant Clo, et succombé à un bas de maillot de bain tout simple, noir classique à -30%. On commence petit. Nous essayons quelques vêtements, notamment une robe hyper classe sur le cintre mais carrément grossissante sur nos épaules. Ces fameuses robes cintrées sous la poitrine, vous savez bien ; de toute façon, on ne trouve plus que ce modèle-là dans les magasins. Et bien croyez-le ou non, la forme de ces fichues robes n’allait ni à l’une ni à l’autre. Pourtant, nous n’avons pas la même morphologie car si l’une est mince avec peu de poitrine, l’autre est un peu plus en chair avec un décolleté suffisant. Et nous avions toutes les deux l’air de femmes enceintes ! Mais quel genre de femme peut se permettre une telle robe alors ?!
Nous continuons. Je cède à l’appel d’un pantalon que j’avais repéré avant les soldes et que je n’avais plus jamais revu en rayon jusqu’à ce jour. -30% aussi. J’ai gagné 12 euros, je suis ravie. Puis vient le rayon maillots de bain. J’en ai déjà, je sais. J’en ai plein, trop même, je le sais aussi, merci ! Mais quel délice comme prémices aux vacances de choisir son maillot de l’été, celui qui nous rendra irrésistibles sur la plage ou au bord de la piscine. Celui qui imposera ses marques blanches sur notre corps halé naturellement par des heures d’efforts à faire la tartine au soleil. Clo craque sur un modèle rouge brillant. Nous cherchons ardemment le soutien-gorge assorti mais c’est peine perdue. C’est la fin des soldes, la troisième démarque : il ne reste que du 34. Comme presque partout ailleurs d’ailleurs. Mon pantalon taille 40 était un vrai miracle perdu au milieu d’autres fripes. Tant pis pour le beau maillot rouge et la frime à la Pamela Anderson sur la plage d’Hossegor. Tant pis pour l’allumage de Romain au soleil du divin Pays Basque et de ses gâteaux succulents. J’avise moi aussi un petit bikini bleu nuit rayé d’ondulations roses, oranges et bleues ciel. Il est en solde et il reste plein de tailles. Clo et moi cherchons et trouvons bas et haut correspondant à ma silhouette. J’aimerai l’essayer, juste pour savoir si mon popotin rentre dans cette culotte qui me semble énorme. Il y a un monde fou qui fait la queue devant les cabines. A la guerre comme à la guerre, j’essaye la culotte par-dessus mon pantacourt. Elle semble aller. Finalement, j’ai peut-être un plus gros derrière que je ne le pensais. Idem pour le soutien-gorge. Vendu ! Il est en solde, -50% le haut et -70% le bas, je ne fais même pas le calcul tellement il me plait. Je me vois déjà prise en photo au bord de la piscine de l’hôtel dans les îles Canaries où je pars mercredi matin pour huit jours. La vendeuse annonce : 5,94€ ! Les deux sont passés à -70% !!! Ca c’est une affaire.
Voilà ce que j’aime dans les soldes. Pour une somme dérisoire, je suis habillée pour mes vacances. J’aime la perspective de pouvoir acheter mon maillot de bain avec ma petite monnaie tellement il ne coûte pas cher. Je l’essaye dès mon arrivée à la maison quelques heures plus tard. Je suis encore dedans. J’ai chaud. Ca sent les vacances à mort. J’adore !
2 commentaires:
Ah les soldes, c'est un mot qui résonne si bien dans mes oreilles!! C'est vrai que c'est une formidable occasion de faire des magnifiques affaires, moi j'ai surtout craqué sur La Redoute pour les textiles de bain, maintenant que je m'installe à Lyon!!
C'est marrant les coïncidences, moi en attendant Clo hier, je lisais le vieux Weisberger...
comme quoi vous faites bien de m'attendre :p
Bon sinon je sais pas si je l'ai allumé mais je pense que mon bikini noir a fait l'affaire pour Hossegor ^^
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