Vendredi, c’était un jour important. Vendredi, Chou et moi avons fêté nos deux ans d’amour et de bonheur. Vendredi, était une journée parfaite… enfin presque !
Souvenez-vous, l’an dernier, Chou et moi avions déployés des trésors d’imagination pour se surprendre à cette occasion. Lui m’avait monté un bateau énorme avec la complicité de pas mal de gens pour m’offrir un dîner en tête-à-tête dans un restaurant à la cravate obligatoire et aux menus pour dames sans prix. Moi de mon côté, j’avais offert à Chou une « soirée porte-jarretelles ». Au menu, deux bonnes places pour aller voir Cabaret, la comédie musicale rendue culte par Madame Lisa et un petit dîner concocté par mes soins. Et bien sûr j’avais investi dans de la lingerie appropriée. Tout avait été merveilleux. Pas de cadeaux ratés (Chou et moi sommes des spécialistes), pas de fausses notes. Idyllique.
Cette année, nous avons préféré une soirée entendue ensemble. Pas de surprises. Enfin pas tout à fait, on ne peut pas vraiment s’en empêcher. Donc nous avions convenu ensemble de célébrer nos deux ans d’amour chez lui, en se préparant un repas pas comme d’habitude. Comme j’ai déjà à plusieurs reprises fait des petits dîners surprises chez lui pour quand il rentre du travail, il a demandé à cuisiner seul un menu surprise pour moi. Bien, très bien même, aucune objection.
Vendredi donc, je me suis rendue chez lui, chose de plus en plus facile depuis qu’il a accepté de me donner un jeu de clefs de son appartement, convenant que c’était bien plus pratique ainsi. Je suis donc arrivée et dès 17h30, Chou est entré dans la cuisine avec ordre pour moi de ne pas y mettre les pieds sous aucun prétexte. Sur ordre de mon homme, j’ai donc joyeusement glandouillé ^^. Quand tout fut prêt, nous sommes passés à table. Et là… le drame !
Chou avait prévu des chèvres chauds sur lit de salade. Bon pour ça, pas trop de problème, c’était très bon. C’est après que ça s’est corsé. Suivait normalement un tournedos et un gratin dauphinois. Le tournedos, acheté chez le boucher du quartier était comme à chaque fois excellent. Pour le gratin, on ne peut pas en dire autant. Malgré son heure tout entière (voir plus) dans le four et sa tête très appétissante, les patates se sont obstinées à refuser de cuire. Nous nous sommes donc privés de légumes en pensant que nous nous rattraperions sur le dessert.
Parlons-en justement du dessert. Mon dessert préféré : le gâteau basque. Un gâteau sablé garni d’une crème pâtissière qui met en émois mes papilles mais qui est très très TRES difficile à réaliser. Et dans le commerce, il est super difficile d’en trouver un bon si on n’habite pas dans ledit pays basque. Chou pourtant a tenté. Ma sœur lui avait fourni une recette que ma mère avait achetée là-bas. Je ne vais pas faire durer le suspense, le gâtal était raté de chez raté, absolument immangeable, encore pire qu’un surgelé plein de flotte. Tentant de consoler mon amoureux, déçu d’avoir loupé la moitié du repas, je demandais à voir la recette. Or à bien y regarder, rien de semblait convenir à la préparation du dessert. Chou avait suivit très scrupuleusement la recette mais rien n’y a fait. La preuve donc qu’elle n’était pas la bonne. C’est sûr qu’en partant avec les pneus crevés, on ne risque pas de gagner le tour de France !
Nos deux ans d’amour ont donc été perturbés quelques peu, pas tout à fait comme on l’aurait voulu. Peu importe, tant qu’on s’aime et qu’on est ensemble. Après tout, nous avons très bien survécu en vivant d’amour et d’eau fraîche ^^
Souvenez-vous, l’an dernier, Chou et moi avions déployés des trésors d’imagination pour se surprendre à cette occasion. Lui m’avait monté un bateau énorme avec la complicité de pas mal de gens pour m’offrir un dîner en tête-à-tête dans un restaurant à la cravate obligatoire et aux menus pour dames sans prix. Moi de mon côté, j’avais offert à Chou une « soirée porte-jarretelles ». Au menu, deux bonnes places pour aller voir Cabaret, la comédie musicale rendue culte par Madame Lisa et un petit dîner concocté par mes soins. Et bien sûr j’avais investi dans de la lingerie appropriée. Tout avait été merveilleux. Pas de cadeaux ratés (Chou et moi sommes des spécialistes), pas de fausses notes. Idyllique.
Cette année, nous avons préféré une soirée entendue ensemble. Pas de surprises. Enfin pas tout à fait, on ne peut pas vraiment s’en empêcher. Donc nous avions convenu ensemble de célébrer nos deux ans d’amour chez lui, en se préparant un repas pas comme d’habitude. Comme j’ai déjà à plusieurs reprises fait des petits dîners surprises chez lui pour quand il rentre du travail, il a demandé à cuisiner seul un menu surprise pour moi. Bien, très bien même, aucune objection.
Vendredi donc, je me suis rendue chez lui, chose de plus en plus facile depuis qu’il a accepté de me donner un jeu de clefs de son appartement, convenant que c’était bien plus pratique ainsi. Je suis donc arrivée et dès 17h30, Chou est entré dans la cuisine avec ordre pour moi de ne pas y mettre les pieds sous aucun prétexte. Sur ordre de mon homme, j’ai donc joyeusement glandouillé ^^. Quand tout fut prêt, nous sommes passés à table. Et là… le drame !
Chou avait prévu des chèvres chauds sur lit de salade. Bon pour ça, pas trop de problème, c’était très bon. C’est après que ça s’est corsé. Suivait normalement un tournedos et un gratin dauphinois. Le tournedos, acheté chez le boucher du quartier était comme à chaque fois excellent. Pour le gratin, on ne peut pas en dire autant. Malgré son heure tout entière (voir plus) dans le four et sa tête très appétissante, les patates se sont obstinées à refuser de cuire. Nous nous sommes donc privés de légumes en pensant que nous nous rattraperions sur le dessert.
Parlons-en justement du dessert. Mon dessert préféré : le gâteau basque. Un gâteau sablé garni d’une crème pâtissière qui met en émois mes papilles mais qui est très très TRES difficile à réaliser. Et dans le commerce, il est super difficile d’en trouver un bon si on n’habite pas dans ledit pays basque. Chou pourtant a tenté. Ma sœur lui avait fourni une recette que ma mère avait achetée là-bas. Je ne vais pas faire durer le suspense, le gâtal était raté de chez raté, absolument immangeable, encore pire qu’un surgelé plein de flotte. Tentant de consoler mon amoureux, déçu d’avoir loupé la moitié du repas, je demandais à voir la recette. Or à bien y regarder, rien de semblait convenir à la préparation du dessert. Chou avait suivit très scrupuleusement la recette mais rien n’y a fait. La preuve donc qu’elle n’était pas la bonne. C’est sûr qu’en partant avec les pneus crevés, on ne risque pas de gagner le tour de France !
Nos deux ans d’amour ont donc été perturbés quelques peu, pas tout à fait comme on l’aurait voulu. Peu importe, tant qu’on s’aime et qu’on est ensemble. Après tout, nous avons très bien survécu en vivant d’amour et d’eau fraîche ^^
5 commentaires:
rhoo mais ton teaser sur msn me laissait penser à une soirée encore plus cata! même pas drôle hihihihi ;)
Je trouve adorable de la part de ton chéri l'idée de te faire un dîner maison aux chandelles... Je crois qu'avec mon chéri, on l'aurait pris sur la rigolade. Dis-toi que ça vous fera un bon souvenir pour en rire plus tard! ;-)
Mais je ne le vois pas autrement Cyan ^^
Du reste, le week end était parfait malgré ces petites contrariétés... Je n'ai pas dit ce que je lui avais préparé moi comme surprise héhé
Petite coquine ;-)
c'est mignon!! et puis les patates crues, c'est un détail!
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